Un peu plus sérieusement, il est possible d'obtenir un "effet vibrato" avec l'archet, en modifiant un peu la vitesse et la pression pendant un coup d'archet. Difficile à expliquer comment faire, cependant... En tout cas, pour que ça vienne, il faut faire des exercices d'archet avec tout l'archet...
Bonjour à tous! Je commence le vibrato seulement après 4 ans de violon. C'est super difficile de décoller la main gauche du manche, surtout pour les cordes de sol et ré. Mon index reste collé au manche. Mon pouce bouge et n'est pas stable. Est-ce que quelqu'un a vécu la même chose que moi? Après combien de temps avez-vous pu dépasser cette difficulté? Merci pour vos encouragements.
J'avais commencé le violon en 2007 et arrêté.
J'ai repris en 2014.
J'ai commencé le vibrato en décembre 2016 je crois.
Je peux dire que c'est seulement en juin 2022 que j'ai commencé à me sentir "à l'aise", moins crispée, et à "contrôler" le vibrato en fonction de ce que je souhaite entendre.
C'est un travail de longue haleine qui se construit au quotidien, petit à petit. Souvent je me crispe encore et ça fait trop "chèvre".. Je continue de le travailler et il faudra le faire encore longtemps à mon avis.
Pour certains ça vient + rapidement que pour d'autres.
Courage !
J'ai commencé également le vibrato tardivement, 5-6 ans après avoir commencé le violon. Au début j'ai galéré aussi, main trop crispée puis, petit à petit c'est venue et même si ce n'est pas encore parfait il se fait de plus en plus naturellement. Mais comme tout au violon: ça prend du temps
Bonjour,
J’ai abordé le vibrato au bout de 5-6 ans avec ma prof, mais j’étais enfant… je crois que je vibrais chez moi toute seule mais pas en cours On a traité ça en 1 cours il me semble. Je pense que c’est un détail, il y a tellement de choses plus importantes à voir avant, c’est juste la cerise sur le gâteau, un effet…mais quand on est adulte on a pas les mêmes attentes c’est sûr et je comprends qu’on soit impatient de vibrer!
« Plus claire la lumière, plus sombre l’obscurité…
Il est impossible d’apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres. » Sartre