

Je pense que ce n’est plus ringard. En tout ça les jeunes que je croise n’ont pas honte de le faire et sont plutôt décontracté avec la pratique.
Oui et ça dépend aussi du milieu en ville… entre les centre-villes et les quartiers sensibles, il y a un monde !Baroqueux a écrit : ↑dim. 29 sept. 2024 20:08 Je n'étais pas né dans les années 70, enfin je suis né en 1979. Au collège, personne ou presque ne savait que je faisais de l'orgue, mais j'emmenais sans honte ma guitare pour accompagner la chorale.
Je n'ai pas l'impression que le regard ait changé, dans la campagne, la pratique musicale a de toute façon toujours été perçue comme élitiste. Je ne fréquente pas les villes donc effectivement, j'ai peut-être un regard trop campagnard.
le crincrin d'avant ..... il n'y avait pas de Youtube de Deezer de tel portable et d'enceinte Blue tooth, c'était le violoneux qui faisait danser la mariée et accompagnait l'énoisée ... le monde change , avant les infos c'etait les crieurs de rue qui les donnaient .orliac a écrit : ↑lun. 30 sept. 2024 06:54 A l'inverse, un grand nombre de jeunes élèves n'ont jamais vu un violon de près et ne parlons pas du violoncelle. Il y aurait là un grand travail d'éducation, en évitant les prises de position partisanes, et de considérer comme réactionnaire les tendances dites "bourgeoises" de notre culture. Mes ancêtre paysans dansaient au son de crin-crins qui étaient quand même des violons et avec lesquels des illettrés savaient exprimer de beaux sentiments. Effacer notre passé, c'est malmener l'avenir de nos enfants.
Bonjour orliac,orliac a écrit : ↑lun. 30 sept. 2024 06:54 A l'inverse, un grand nombre de jeunes élèves n'ont jamais vu un violon de près et ne parlons pas du violoncelle. Il y aurait là un grand travail d'éducation, en évitant les prises de position partisanes, et de considérer comme réactionnaire les tendances dites "bourgeoises" de notre culture. Mes ancêtre paysans dansaient au son de crin-crins qui étaient quand même des violons et avec lesquels des illettrés savaient exprimer de beaux sentiments. Effacer notre passé, c'est malmener l'avenir de nos enfants.
Comme "Shigatsu wa kimi no uso". Très beau et triste.
Pas tout le temps, dans mon ancien lycée j'étais souvent charié car je jouais du violon...